Les questions posées pour aller voir derrière les raisons d’un cancer de l’intestin

Traduit par Françoise Vaché
Bonjour à tous,
Jamina Kovacev de New Zealand expose certaines raisons cruciales au fait que nous développions des maladies comme le cancer. Ces idées sont de grande utilité et méritent que vous les étudiiez.
Hi Gary,
Par Jamina Kovacev BSc
Ma cliente avait un cancer des intestins qui avait été opéré et les médecins voulaient qu’elle fasse de la chimiothérapie pendant 9 mois. Elle a refusé la chimio. Un scanner avant l’opération avait montré quelque chose au foie et on lui avait dit que si c’était un cancer elle n’avait que 10% de chances de survivre. Sinon, alors tout irait bien – particulièrement si elle choisit la chimio.
Lorsqu’elle est venue me voir la région du foie était douloureuse. La toute première chose que je fais toujours pour des clients qui ont des maladies chroniques c’est de découvrir le niveau de croyance concernant leur guérison. De nombreux problèmes fondamentaux font généralement surface à l’énoncée de la question.
Je fus vraiment surprise quand Mary (pas son vrai nom pour des raisons de confidentialité) me dit qu’elle avait la certitude de 10 sur 10 qu’elle sortirait de ce cancer. J’avais la certitude que tout ce qui proviendrait de notre conversation et plus particulièrement les prédictions des médecins laisseraient de profondes cicatrices sur les « murs de ses écritures mentales ». Je ne pouvais pas imaginer qu’elle avait cette croyance à un niveau 10.J’ai commencé à la questionner sur sa motivation à vaincre ce cancer et à vivre. Mary est une mère qui élève seule ses 3 jeunes enfants, dont le dernier n’a que 3 ans. C’est sûr qu’elle avait plus que 10 sur 10 envie de vivre pour rester avec eux. C’est après avoir identifié sa motivation à vivre que je fus capable d’avoir accès à son niveau de croyance réel.
Je lui ai demandé d’imaginer qu’elle n’avait pas d’enfant et de me dire alors d’évaluer sa croyance à pouvoir surmonter le défi du cancer. À mon grand étonnement et au sien, elle était seulement à 2.
Indépendamment de ce que les médecins lui avaient dit, elle avait de nombreux autres problèmes – comme je ne mérite pas de vivre, je ne vaux rien…et un nombre de problèmes d’enfance fondamentaux qui devaient être enlevés.
Ce fut une bonne leçon pour moi à être attentive avec chaque client et à ne pas faire confiance à la croyance de son niveau sans en vérifier d’abord la motivation.
Il se trouvait que je venais de regarder le film « Le Secret » au moment où Marie avait ses séances. Comme je n’arrivais pas à trouver des évènements marquants dans sa vie qui auraient pu arriver avant sa maladie, j’ai essayé de poser toutes sortes de questions. Lorsque je lui ai demandé ce qui pouvait être pire que le cancer, je n’en croyais pas mes oreilles quand j’entendis la réponse « Travailler aussi dur que le faisais avant que j’ai ce cancer ».
Ce n’était pas seulement le bénéfice secondaire qui sortait et la maintenait là, mais je crois que c’était la cause de son état.
Je me suis interrogée un peu plus et ça m’a fait penser à la scène du génie dans le film Le Secret et les mots prononcés « Ton souhait est un ordre ». Mary me raconta qu’elle se souvenait clairement alors qu’elle était assise dans la véranda, épuisée après toute une journée de jardinage (sa profession) elle regardait le ciel chargé d’étoiles, elle demanda désespérément que tout cela s’arrête d’une manière ou d’une autre, juste que ça s’arrête, tout ce travail dur, cet épuisement.
Juste quelques semaines après on lui annonça le cancer de l’intestin. Ça ressemble vraiment à « Ton souhait est un ordre ». Elle n’a pas eu une réponse à son souhait. Ça ressemble à une sacrée erreur.
Je n’ajoute ici les affirmations de base, ce serait trop long. Nous avions réellement besoin de reformuler son bénéfice secondaire et trouver des solutions différentes pour qu’elle se sente hors de danger en bonne santé et de savoir qu’elle pouvait organiser sa vie de façon différente et d’en profiter.
Voici son témoignage.
Les séances m’ont vraiment aidée pour la douleur. Dès la première séance, la douleur dans la région du foie avait pas mal baissé. J’ai aussi vécu des changements monumentaux – Je suis beaucoup plus heureuse et libérée. La chose la plus énorme c’est que j’au pu me libérer des évènements et de mes croyances passés qui m’affectaient sans que je n’en sois vraiment consciente. Pour une fois dans ma vie j’étais libre.
En ce qui concerne le cancer directement – J’ai arrêté d’avoir peur. Nos séances ont commencé un mois après l’opération et les instructions pour la chimio. J’ai refusé la chimio et en très peu de temps on m’a dit que je n’avais plus de cancer. Je ne peux pas dire à quel point nos séances y ont contribué, mais je suis certaine qu’elles ont foué un rôle important.
Jasmina Kovacev, BSc

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