Cas d’un buveur désespéré

Un rapport d’un cas d’un buveur désespéré

Bonjour à tous,

Venir en aide aux dépendances graves avec l’EFT fait partie de nos efforts les plus difficiles. Il ne suffit pas seulement de tapoter sur : « mon alcoolisme » et de s’attendre à obtenir des résultats durables en un tour ou deux. En fait, c’est là que «l’art de l’élocution » de ces procédures est important. En règle générale, il faut remonter dans le temps et «décharger» de nombreux problèmes graves du passé de la personne et ainsi désamorcer les événements à l’origine de l’anxiété qui servent de moteur à la dépendance.
Carol Maker travaille avec les institutions pénitentiaires (prisons) et traite avec les détenus ainsi que ceux qui sont en libération conditionnelle. La lutte contre les dépendances, bien sûr, sont souvent parmi les nombreux défis rencontrés. Elle détaille pour nous ci-dessous comment elle a aidé un « buveur frénétique » à se débarrasser des envies d’alcool en neutralisant les événements autour de la mort de ses parents. Bien que le travail semble fait, du moins pour l’instant, la prudence suggère de poursuivre avec d’autres événements passés, chargés émotionnellement. Les dépendances sont les méthodes utilisées pour échapper à la douleur émotionnelle et donc plus nous pouvons neutraliser de douleur émotionnelle, moins le client sera tenté de revenir à la substance addictive. J’ajoute, chapeau bas à Carol, pour sa compétence dans cette affaire.

Gary,

Par Carol Maker
Salut Gary,
Le mois dernier, j’ai reçu un appel d’un agent de « liberté surveillée »pour voir si je pouvais aider un client qui était « sans espoir ». On m’a dit que le client était un buveur frénétique avec un dispositif de surveillance électronique utilisé pour essayer de l’empêcher de boire et de briser sa libération conditionnelle.
Le client m’a dit qu’il était hanté tous les jours par le souvenir de la mort de sa mère, et de façon incessante il était poussé à boire. Il m’a dit en confidence qu’il se soûlait au moins 3 x par mois, mais ne voulait pas que son agent de « liberté surveillée » le sache car il avait été emprisonné de nombreuses fois pour ça. Je lui ai dit que mes services étaient gratuits à condition qu’il se fasse le porte-parole de cette méthode si cela fonctionnait. Il était d’accord.
Nous avons travaillé 2 heures 1 / 2 sur plusieurs événements autour du suicide de sa mère quand il avait 5 ans et la mort récente de son père. J’ai utilisé à la fois l’EFT et le TIR. Au cours de la séance, il me demanda si j’étais un ange et voulais savoir ce que je lui faisais pour qu’il ressente sans arrêt des « afflux électriques ». A la fin, il m’a finalement demandé si j’étais une sorcière. Il souriait, mais il y avait un regard inquiet sur son visage … Après la séance, je n’ai pas entendu parler de lui jusqu’à hier.
Il m’a appelée pour me dire qu’il n’avait plus eu d’autres idées pénibles sur la mort de sa mère et qu’il n’avait pas eu une seule envie de boire en un mois. Il m’a dit qu’il était tellement sûr qu’il était guéri que je pouvais maintenant révéler à son agent de probation (et aux autres) la vérité sur l’ampleur de son problème d’excès de boisson. Lorsque le chef de liberté surveillée sur la dépendance chimique a entendu l’histoire ( que j’avais travaillé avec lui sur la mort de sa mère avec d’excellents résultats), il m’a envoyé un mail avec le commentaire.

« Histoire passionnante. Cela peut nous donner des témoignages qui accréditent l’utilisation de ces techniques comme un adjuvent aux abus de produits chimiques classiques Tx [traitement]. »
… alors, ce serait sympa, n’est-ce pas??? Carol Maker

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